Notice d'utilisation de gvSIG

Dans le cadre de mon stage de fin d'études ingénieur, j'ai eu l'occason de travailler sur plusieurs logiciels de Systèmes d'Information Géographique afin de trouver la meilleure solution logicielle qui pourrait convenir à l'entreprise où j'effectuait mon stage.
Il existe ainsi plusieurs logiciels SIG, professionnels mais aussi des logiciels gratuits ou des logiciels libres.
Comme je me suis tournée, entre autres, vers gvSIG (logiciel libre et gratuit), j'ai dû apprendre sa prise en main. Lors de mes recherches sur Internet, je me suis rendue compte qu'il existait de l'aide sur ce logiciel, mais encore peu en français.
J'ai donc décidé de rédiger une notice pour gvSIG.

Contenu

Ce document d'une soixantaine de pages, illustrés par de nombreuses copies d'écran, va de l'installation de gvSIG aux outils plus poussés de géotraitement tels que les outils de l'extension Sextante. Il traite de manière plus précise:

Analyse urbaine d'un quartier de Compiègne

Une Unité de Valeur, enseignée par Philippe Dehan, nommée Modes opératoires de l'urbanisme contemporain, a pour objectif d'initier les étudiants à la compréhension et à l'analyse des phénomènes urbains et de leur présenter les méthodes et pratiques en urbanisme réglementaire et opérationnel.
Elle introduit la notion de «projet urbain» dans une perspective de «ville durable»

Mon rendu

Dans le cadre de cette UV, nous avions en charge de réaliser une analyse urbaine sur une rue de Compiègne.J'étais chargée de la rue de Pierrefond, qui débouchait autrefois sur une des portes de la ville. J'ai eu la grande surprise de découvrir une partie encore visible des remparts et un joli parc dont je n'avais aucune idée de l'existence après avoir habité plusieurs années à Compiègne.

Vous trouverez ici la partie individuelle de cette étude urbaine, sachant qu'un second rendu, en groupe, permettait de traiter toute la rue, depuis l'ancienne porte de la ville (invisible aujourd'hui), jusqu'à la place de l'hôtel de ville.

Mémoire de sciences cognitives

A l'Université de Technologie de Compiègne, le choix des cours se fait un peu "à la carte", surtout lorsqu'il s'agit des cours de culture générale. Ce qui rend ces cours passionnants du fait qu'on les a choisi selon nos centres d'intêrets et ainsi notre participation est plus grande et plus attentive.

Pendant l'intersemestre du printemps 2010, j'ai eu l'occasion de choisir une UV sur les sciences et technologies cognitives. Il s'agissait d'un séminaire interdisciplinaire sur une semaine, où les conférences se suivaient à un rythme soutenu. J'ai vraiment été intéressée! Ensuite, il fallait rédiger un rapport à partir d'une conférence ou d'une question soulevée durant ce séminaire.

Cette année là, le séminaire avait pour théme: Cognition, communauté(s) et technique : l’émergence et l’institution de normes.

Mon mémoire: La norme en psychiatrie

Durant ce séminaire interdisciplinaire, j'ai été particulièrement touchée par la conférence d'Alain Gillis.

Alain Gillis, psychiatre clinicien, nous a parlé de la norme dans son métier avec pour titre de sa conférence : La norme, exposant du symptôme. Dans le mémoire que j'ai rédigé avec pour base sa conférence, je me suis également inspiré d'autres auteurs qui ont parlé de ce sujet : Georges Canguilhem et Henry Grivois, et de témoignage de personnes malades ou de proches.

Il se divise selon deux parties : "anormalité de la maladie psychiatrique" et "norme dans les maladies psychiatriques" et je conclus sur, selon moi, le rôle du psychiatre aujourd'hui.

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